“ Miroir de l'âme “Ces photos empreintes d'émotions et de mélancolie apparente sont le vecteur du temps qui passe et courent sur le fil de l'espèrance, celui du passage d'un gris intrinsèque vers la lumière. L'ombre des fibres arachnéennes laisse transparaître le spectre d'une âme lumineuse et organique, promesse d'une quiètude intemporelle et d'une sensualité fleuretant avec le mystique. La chair se faisant âme et l'âme infini, c'est l'essence sensorielle de notre être profond qui est ici questionnée. Ainsi, le "spectateur-acteur" peut voir ces oeuvres, comme des nuages qui passent, se confrontant ainsi à ses propres errances d'une vie en perpétuelle mouvance.Modèle et post traitement : Catherine AyellaTexte : Patrice BarratCollaboration artistique : Laurent Quinkal photographe
“ Miroir de l'âme “Ces photos empreintes d'émotions et de mélancolie apparente sont le vecteur du temps qui passe et courent sur le fil de l'espèrance, celui du passage d'un gris intrinsèque vers la lumière. L'ombre des fibres arachnéennes laisse transparaître le spectre d'une âme lumineuse et organique, promesse d'une quiètude intemporelle et d'une sensualité fleuretant avec le mystique. La chair se faisant âme et l'âme infini, c'est l'essence sensorielle de notre être profond qui est ici questionnée. Ainsi, le "spectateur-acteur" peut voir ces oeuvres, comme des nuages qui passent, se confrontant ainsi à ses propres errances d'une vie en perpétuelle mouvance.Modèle et post traitement : Catherine AyellaTexte : Patrice Barrat